Les concepteurs de la Canopée n’ont pas fini de nous étonner, avec leur toit plein de surprises. Après le toit qui fuit (les travaux de colmatage des ventelles viennent de débuter, pour un coût, confirmé au Comité de suivi du chantier, de 1,2 millions d’euros…), voici le toit qui éblouit et contribue au réchauffement climatique. Une douzaine d’habitants de l’immeuble du 112-118 rue Rambuteau nous ont signalé, à plusieurs reprises, que leurs logements étaient victimes de la réverbération générée par la canopée. Outre le désagrément visuel, cette luminosité ascendante excessive a généré des hausses de température atteignant jusqu’à 45 degrés dans les logements concernés. Aux dernières nouvelles, la solution a été trouvée. La RIVP, profitant du ravalement des bâtiments, a installé les stores occultants dans toutes les fenêtres. Nous sommes ravis que les plaintes des habitants aient été entendues !